Public concerné:

Ce travail est bénéfique à toute personne en quête de soi, ressentant un mal-être de vivre et qui fait face à des blocages récurrents dans sa vie.

Les raisons pour consulter sont variées et diverses:

- difficultés familiales, relationnelles ou sociales (rupture, divorce, problèmes de couple ou de communication...)

- difficultés professionnelles (changement, "burn out", chômage...),

- crise existentielle et conflit interne,

- isolement, choc affectif, deuil, peurs, dépression...,

- manque de confiance en soi, angoisses, stress, culpabilité, addictions, compulsions...

L’intérêt de cette approche est notamment de permettre à l’individu:

- d'aborder la vie de manière consciente et autonome, sous le regard accueillant et inconditionnel de sa propre lumière intérieure, désidentifié des croyances erronées, conditionnements limitants et autres blessures émotionnelles auxquels il peut être confronté,

- de réparer le lien avec lui-même : de le redécouvrir et de le cultiver dans la justesse, la douceur et l'amour,

- de résoudre les conflits entre ses sous-personnalités, qui entravent l'épanouissement de son être, 

- de sortir des dépendances (de diverses natures), très souvent en lien avec des comportements de sabotage et d'auto-destruction,

- de s'extraire de l'isolement et/ou d'être capable de relations saines, matures et éclairées (sans fusion, ni confusion), basées sur un sentiment d’unité et de calme intérieur,

- d’obtenir une vision éclaircie de son propre chemin de vie, fort d'un regard confiant et enthousiaste sur ses ressources et capacités nouvellement retrouvées,

- d'acquérir suffisamment de sécurité intérieure (si celle-ci a été entravée) pour pouvoir aimer sa vie, s'y engager et de se donner les moyens de la vivre - en sachant accueillir et relever les défis qu'elles proposent.

- enfin, cette approche sollicitant la neuroplasticité cérébrale (capacité qu'ont les neurones à se modifier tout au long de la vie), permet de prendre en charge non seulement les traumatismes psychiques complexes, mais aussi les troubles de l’attachement préexistants, qui leur sont très souvent associés.